Le cadran solaire et l’histoire de la philosophie

Etudié au sein de la première école dans l’histoire de la philosophie, l’Ecole de Milet, le cadran solaire mesure les heures solaires tout au long de l’Antiquité et du Moyen Age : « dans les monastères, dans les châteaux, le temps se lit au cadran solaire. »[1]

Quel que soit le degré auquel le lecteur fait abstraction de la terre et du soleil, le temps astronomique coïncidera toujours avec l’écriture accessible ou inaccessible du soleil sur la terre.

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[1] Jacques Le Goff, Saint Louis, Paris, Editions Gallimard, 1996, p. 560.