Je pense depuis longtemps qu’autrefois
l’Ecriture sainte constituait la Terre
des exilés qui croyaient et que, dans
un certain sens, tous les croyants étaient des exilés. Je me souviens maintenant de ce que je pensais il y a longtemps parce que je suis en
train de lire les lignes suivantes rédigées par Jacques Berlioz :
« L’expression de « tremblement de terre » se présente à seize
reprises dans l’Ecriture : trois fois dans l’Ancien testament, six dans
les Evangiles et sept dans la seule Apocalypse. »[1]
[1] Jacques
Berlioz, L’effondrement du mont Granier
en Savoie (1248) : Histoire et légendes, Centre alpin et rhodanien
d’ethnologie, Conservation départementale du patrimoine, 1998, p. 47.
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