Influencé par « le jeu des
proportions » qui définissent l’homme comme principe de l’architecture
religieuse antique (Vitruve, De l’architecture, Livre III, 1,3-9, texte établi, traduit et commenté par Pierre Gros, Paris, Les Belles Lettres, 1990), je me suis involontairement
aperçu de deux proportions qui – parallèles aux proportions vertigineuses étudiées par Vitruve – ne se trouvent pas
dans le texte ni dans les commentaires du texte du Livre III du traité De l’architecture.
Le caractère érudit, riche et approfondi des commentaires rend cette précision particulièrement
importante.
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