A
chaque fois que l'on sous-estime Cicéron, on est injuste.[1]
[1]Cicéron
fait précéder le proverbe juridique dont il est question (Cicéron, Les devoirs, Livre I, X-33, texte établi
et traduit par Maurice Testard, Professeur à la Faculté libre des Lettres de
Paris, Paris, Société d’édition Les Belles Lettres, 1965, p. 120) d’un
éclaircissement important : « Il se trouve souvent aussi des
injustices du fait d’un certain abus de la loi et d’une interprétation
extrêmement habile mais trompeuse du droit. » Voir aussi Dictionnaire Gaffiot [1934], jus : « … summum jus summa injuria Cic. Off.
1, 33, comble du droit, comble de l’injustice ».
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