dimanche 2 février 2014

Une hypothèse sur le jeu de lettres à l’époque des éléments

D’une part, quatre dés sont en mesure de figurer exhaustivement l’alphabet grec ancien. D’autre part, les lettres figurent depuis très longtemps ce qui avait été en dehors du langage et en lui, et qui ne cessait d’apparaître dans le langage et en dehors de lui.
Se peut-il que parmi les dés qui existaient dans l’antiquité aient existé les dés alphabétiques, et qu’ils aient été distincts des autres dés comme les lettres l’étaient des autres signes ? Qu’ils aient été un jeu d’enfant pour les enfants, et un jeu supérieur pour ceux qui connaissaient les secrets de l’alphabet et les niveaux supérieurs du langage ? Que l’alphabet ait pris la forme de l’aléatoire qui suggérait, parlait et transformait le temps en jeu de mémoire ? Que le cube ait symbolisé non seulement l’aléatoire et l’alphabet, mais aussi – pas toutefois dès le début – les points cardinaux du monde y compris la terre et le ciel ?
L’archéologie, avait-elle déjà découvert de tels dés hypothétiques, et les a-t-elle vus – tels qu’ils étaient réellement lorsqu’ils prédisaient l’avenir de ceux qui étaient en train de les interpréter ?

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