Les aqueducs prennent leurs sources
sur les voies comme si les voies étaient des montagnes ou des repères mobiles situés au pieds des montagnes. En lisant Frontin[1], on
peut établir un parallèle
stratégique entre les voies et les aqueducs romains.
Tous les aqueducs mènent à Rome.
[1] Frontin, Les aqueducs de la ville de Rome, texte établie, traduit et
commenté par Pierre Grimal, deuxième édition, Paris, Société d’édition Les
Belles Lettres, 1961, XXII-114 p.
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