Hésiode nous fait savoir que tous les hauts lieux, les éperons
abrupts des hautes montagnes, les sommets escarpés, les fleuves qui vont à la
mer, les ports maritimes, les écueils et les falaises penchées sur l’eau[1]
sont à Apollon.
Apollon étant né dans l’île de Délos,
la poursuite de ce qui est visible constitue le début de la remémoration :
les îles – où qu’elles soient – lui rappellent Délos.
[1]
Hésiode, Théogonie Les Travaux et les Jours Bouclier suivis des Hymnes
homériques, texte présenté, traduit et annoté par Jean-Louis Backès, Paris,
Editions Gallimard, 2001, Hymne 3, pour
Apollon 22-24 et 144-145 ; p. 210 et p. 217.
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