Une
réflexion à propos du traité d’Érasme Le libre arbitre (1524), traduit par
André Godin ; voir Érasme,
édition établie par Claude Blum, André Godin, Jean-Claude Margolin et Daniel
Ménager, Editions Robert Laffont, Paris, 1992, pp. 683-772.
Quelles que
soient les relations entre le libre arbitre et la grâce, l’histoire de la grâce
et l’histoire du libre arbitre sont – leurs relations constituent – les
gisements d’or des formes historiques de civilité.
Мerci provient de
grâce, la gratitude est une
expression du libre arbitre.
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