A l’époque du cadran solaire, le
point avait selon toute probabilité été la moindre unité de temps. Cette supposition rajoute aux dimensions spatiales du point – à sa
dimension géométrique qui est graphique et à sa dimension graphique qui est métrique
– une autre dimension, la dimension chronologique.
De ce point de vue, le point est de
nouveau ce qu’il avait selon toute probabilité déjà été, à savoir – la moindre
image géométrique et graphique du soleil.
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