« Le mot luco signifiait œil ; de même que l’on appelle encore œil l’ouverture qui donne du jour aux maisons. »[1]
Cette observation de Vico nous
permet de considérer l’atrium comme une
fenêtre absolue. L’atrium est
l’espace céleste de la maison romaine.
[1] Giambattista
Vico, La science nouvelle (1725), traduit
de l’italien par Christina Trivulzio, princesse de Belgiojoso, Paris, Editions
Gallimard, 1993, p. 233.
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